C'est si bon de respirer, enfin. Arrêter de jouer la grande, et redevenir enfant. 
Vouloir couturer encore et encore des lignes en vert, apprécier les sourires d'enfant, se laisser aller par les clapotis de vie. 
Je retrouve mon oxygène dans chacune de ces pages, dans chacune des algues, dans chacune des bulles.
Et. J'y crois. A tout ça. J'y crois.